1. Fumer aide à se détendre

Fumer du tabac ne relaxe pas. La sensation d’inconfort est en fait induite par les cigarettes précédentes et par le manque de nicotine qu’elles génèrent. Le soulagement ressenti par le fumeur après qu’il ait pris une bouffée de cigarette est simplement dû à la dépendance. En fumant vous nourrissez cet inconfort, ce stress est soulagé pour quelques instants mais pour mieux réapparaitre quelques minutes après.

2. Fumer est un choix personnel.

C’est une croyance qui agit à deux niveaux : pour le fumeur qui essaie souvent de justifier un comportement qui lui échappe et rend difficile la compréhension de la dépendance ; et pour l’entourage du fumeur qui peuvent avoir un discours culpabilisant envers le fumeur. Le choix, c’est de prendre ses premières cigarettes pas de continuer de fumer. C’est une dépendance !

3. Arrêter de fumer fait grossir.

Le tabac en altérant l’odorat, le goût et les signaux de faim et de satiété perturbe le rapport à l’alimentation et le plaisir de manger. À l’arrêt du tabac, deux phénomènes se produisent : l’ex-fumeur va retrouver les sensations,  liées au plaisir de manger et il (peut être) est tenté de remplacer les envies de fumer par de la nourriture. Le geste main/ bouche du fumeur et ressemblant au mangeur.

La personne retrouve le goût, les saveurs, les plaisirs gustatifs et donc l’envie de manger.

Si ces phénomènes sont compris, anticipés et intégrés à votre programme de sevrage tabagique, il n’y a aucune raison pour laquelle vous devriez prendre du poids. au delà des 2/4 KG  qui seront compensés avec une activité physique.

Se libérer de l’addiction du fumeur
Comment j’ai (enfin) arrêter de fumer
Un trés long parcours depuis mes 15 ans d’addiction à la cigarette. Dans ses années là ,1972: fumer était signe de maturité, d’indépendance  voire de libération. Fumer était autorisé partout, dans les transports, les cinémas, les lieux publics,  etc. Dans ceux où il était interdit comme l’hôpital, il y avait toujours un espace fumeur ; la pub et les films représentait héros et héroïne fumant, favorisant l’identification …
Aucune  ou peu de conscience des méfaits de la cigarette.
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un déni ou une dénégation de ses méfaits pour soi et pire pour autrui un point aveugle ? Pour certaines personnes possible, pour d’autres il s’agit de combler un manque, un vide, de recouvrer une problématique  (
j’aimais fumé, oui cette inspiration de fumée mentholée me donnait se sentiment de respirer ! de me concentrer,  et même de m’inspirer pour écrire,
au niveau social, beaucoup fumaient autour de moi, ( parents, couple, ami.es, collègues) Les indéniables bienfaits de « la pause cigarettes au boulot »  moment de répit, de rigolade, de lâcher prise, de confidence aussi ; Des moments apéros, repas, partagés …
au niveau émotionnel fumer me procurer un sentiment de me calmer, de m’apaiser…
Quelle illusion !   que d’illusion,  d’erreur négligeable à ma santé, de dépense inutile-futile
pourtant je détestais l’odeur de cendre froide, la vue des cendres et des mégots, l’odeur sur les habits, traces de mon addiction.
pourtant et paradoxalement cette addiction ma soutenu durant des épreuves de la vie ; stress, deuils, séparations, spoliations, burnout, bornout, anxiété, etc. Elle a donc eue son utilité, toutefois biaisée car malsaine puisqu’attaquant ma santé, pulmonaire etc. voir tableau des méfaits.
Progressivement les alertes scientifiques, médicales, écologiques, sonnaient la prise de conscience et l’envie de stopper.
progressivement mon corps m’alertait de l’urgence
le budget annuel frôlait l’indécence,
mes convictions écologiques étaient en contradiction avec ma pratique d’addiction…
j’ai entrepris d’arrêter à mainte reprise ( tous les 2/3 ans)  m’aidant de toutes les propositions disponibles: stage anti -tabac,  des traitements de substituts nicotiniques, patch, auriculothérapie, acupuncture, phytothérapie, lecture, film, consultations de spécialistes : addictologue, etc.
je parvenais.à stopper 2 mois parfois plus mais je reprenais toujours comme un acte inéluctable, j’ai finis par laisser tomber ce désir de stopper définitivement tout en poursuivant mes  »  pauses tabagiques  » récurrentes car comme nous le savons plus nous essayons plus nous nous donnons la chance d’y parvenir.
C’est lors de ma formation en hypnose Eriksonnienne que je décide de stopper la cigarette définitivement en  m’engageant dans un défi avec deux collègues, l’effet groupe est soutenant, particulièrement quand les membres se soutiennent authentiquement dans le quotidien.
Le défi peut être un déclencheur pour certains en renforçant la motivation par sa légèreté. en effet il y a souvent du lourd derrière l’addiction ( problématique, anxiété, trauma, etc.
c’est pourquoi il est essentiel de (se) respecter le bon moment pour soi, le déclencheur qui soutient l’arrêt du tabac
La méthode efficace et rapide
c’est avec l’hypnose que j’ai stoppé depuis 1 ans, en une seule séance, toutefois j’ai effectué 2 séances de plus pour renforcer le processus notamment sur les origines et les modalités de mon addiction. il est d’usage de dire qu’il faut entre 1 et 10 séances par problématique.
j’ai renforcé ma formation d’hypnose eriksonnienne avec un module sur l’hypnose Elmanienne, speed hypnose et quelques modules de spécialisations ; je poursuis un travail de lecture, de recherche, et de covision avec des pairs, au besoin de supervision.

Les  mythes sur le tabac qui vous empêcherai d’arrêter
1.La cigarette fait partie de mon Identité
C’est une phrase que j’entends souvent dans mes séances d’hypnothérapie, qui est  compréhensible : les premières cigarettes, souvent à l’adolescence, sont la manifestation d’un désir d’appartenance à un groupe. Pendant des décennies, le cinéma, la télé, on inscrit dans l’imaginaire collectif, la cigarette comme symbole de virilité puis de contestation et de libération. Fumer s’installe donc chez l’adolescent à la recherche d’une identité et finit par être partie intégrante de sa personnalité. Vous-même et votre entourage vous voient comme fumeur. C’est pour cette raison que dans ma méthode nous déconstruirons les croyances erronées, vous construirez une (nouvelle) identité saine,  je vous montrerais des outils efficaces de régulation  émotionnelle, de libération psychocorporelle, et bien d’autres à découvrir lors de séances.
inscrire l’image de soi comme non-fumeur dans l’inconscient est fondamentale pour arrêter de fumer définitivement.

Fumer aide à se détendre

Fumer du tabac ne relaxe pas. La sensation d’inconfort est en fait induite par les cigarettes précédentes et par le manque de nicotine qu’elles génèrent. Le soulagement ressenti par le fumeur après qu’il ait pris une bouffée de cigarette est simplement dû à la dépendance. En fumant vous nourrissez cet inconfort, ce stress est soulagé pour quelques instants mais pour mieux réapparaitre quelques minutes après.

Fumer est un choix personnel.

C’est une croyance qui agit à deux niveaux : pour le fumeur qui essaie souvent de justifier un comportement qui lui échappe et rend difficile la compréhension de la dépendance ; et pour l’entourage du fumeur qui peuvent avoir un discours culpabilisant envers le fumeur. Le choix, a été de prendre ses premières cigarettes pas de continuer de fumer. Parce que fumer c’est une dépendance !

Arrêter de fumer fait grossir.

Le tabac en altérant l’odorat, le goût et les signaux de faim et de satiété perturbe le rapport à l’alimentation et le plaisir de manger. À l’arrêt du tabac, deux phénomènes se produisent : l’ex-fumeur va retrouver les sensations,  liées au plaisir de manger et il (peut être) est tenté de remplacer les envies de fumer par de la nourriture. Le geste main/ bouche du fumeur et ressemblant au mangeur.
La personne retrouve le goût, les saveurs, les plaisirs gustatifs et donc l’envie de manger.
Si ces phénomènes sont compris, anticipés et intégrés à votre programme de sevrage tabagique, il n’y a aucune raison pour laquelle vous devriez prendre du poids, au delà des 2/4 KG  qui seront compensés avec une activité physique. Si cela se produit vous pouvez effectuer des séances d’hypnose  alimentaire et consulter une diététicienne ou une naturopathe en sus de  vos séances d’hypnose. Je peux vous fournir des coordonnées.

5.Après un certain âge, il est trop tard pour retirer des bénéfices de l’arrêt tabagique.
L’arrêt du tabac est un changement positif quel que soit votre âge. Vous pouvez déjà ressentir les bienfaits après quelques heures d’arrêt sur votre souffle et votre pression sanguine. Un an après, la dernière cigarette, le risque d’infarctus du myocarde diminue de moitié et le risque d’accident vasculaire cérébral rejoint celui d’un non-fumeur.

photos bienfaits

Alors je t’invite à prendre rendez vous au plus vite pour ta séance d’hypnose d’arrêt du tabac sur Paris 11
Déroulement d’une séance après le recueil  d’informations utiles lors de l’anamnèse et d’ un échange pour te présenter le cadre, les modalités et répondre à tes questions. Tu t’installes trés confortablement afin de bénéficier au mieux de ta séance d’hypnose erickisonnienne
la durée de la première  séance est d’1 heure à 1 h30 , le tarif de 90 € à 130 €
afin de retrouver ta liberté et ta santé  prends contact rapidement.
suite au prochain article.
Ariane Thésée.